Notre nom, clé cachée de notre identité et de notre destin

Vous êtes-vous déjà demandé d'où venait votre nom ?

Nos noms sont plus que de simples étiquettes ; ils définissent notre identité et contiennent les rêves, les aspirations et les désirs inconscients de nos familles.

Dans cet article, je vous propose d’examiner nos prénoms et noms de famille sous différents angles pour décrypter les informations qu'ils recèlent à travers une perspective psychogénéalogique.

1. La Signification des Noms

Rien ni personne ne peut exister sans un nom.

Au moment de notre naissance, nous ne sommes encore qu'un corps anonyme. Ce n'est que lorsque nous recevons un nom que nous commençons à exister officiellement. C'est pourquoi notre nom représente l'un des aspects les plus essentiels de notre identité.

Choisir le nom d'un bébé est donc une grande responsabilité. Comme l’a si justement écrit Albert Camus  «Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde». On pourrait tout aussi bien dire : mal nommer un enfant, c’est ajouter au malheur généalogique.

Nommer est un acte de pouvoir et un moyen de contrôle.

C’est la raison pour laquelle les esclaves étaient dépouillés de leurs noms d'origine pour recevoir des prénoms communs sans nom de famille, ce qui les privait d'une identité individuelle et d'un sentiment d'appartenance à une lignée familiale.

Après l'abolition de l'esclavage aux États-Unis, les anciens esclaves ont adopté des noms de famille. Certains ont choisi les noms de famille de leurs anciens propriétaires, tandis que d'autres ont créé de nouveaux noms ou adopté des noms de leur communauté. Cette adoption de noms correspondait à une étape fondamentale pour se réapproprier une identité personnelle et la liberté.

L’ancien esclave Frederick Douglass s’est par exemple choisi un nouveau nom après s'être enfui à 20 ans. Né Frederick Bailey, il a adopté le nom de famille Douglass après qu'un ami le lui ait suggéré, inspiré par sa lecture du poème narratif de Walter Scott "La Dame du Lac", dans lequel deux des personnages principaux s'appellent Douglas. Avec ce nouveau nom lié à un succès littéraire, il est devenu l'un des plus grands orateurs de tous les temps.

Un autre exemple est celui de Sojourner Truth, à l'origine Isabella Baumfree, qui s'est renommée en 1843 pour refléter son voyage spirituel et son engagement à prêcher la vérité sur l'abolition, son nom pouvant se traduire par « pèlerin de vérité ».

Dans ces deux cas, leur nouveau nom a marqué leur transformation d'individus réduits en esclavage en figures influentes dans la lutte pour les droits civiques.

Notre nom, que nous le voulions ou non, fait partie de notre identité et définit qui nous sommes. Nous ne nous en rendons peut-être pas compte, mais il nous marque, tel un sceau familial, gravant en nous son empreinte, véritable condensé de notre histoire familiale et de la mémoire inconsciente transmise à travers les générations.

Comme l'a écrit Jung :

« Donner un nom signifie donc donner du pouvoir, investir d'une personnalité ou d'une âme définie. D'où l'ancienne coutume de donner aux enfants les noms des saints. » - ~Carl G. Jung, Œuvres complètes 5

2. Que cache notre prénom ?

Tel un mantra au pouvoir incantatoire, notre prénom nous a été répété inlassablement bien avant que nous ne puissions comprendre la signification des mots.

Chaque fois qu'il était prononcé, il réaffirmait les informations encodées en son sein par l'inconscient familial. A nous de le décoder.

Voici les principales questions à vous poser pour y parvenir :

• Qui a choisi mon prénom, et mes deux parents étaient-ils d'accord avec ce choix ?

• Que signifie mon prénom ? Recherchez son étymologie.

• S'il s'agit d'un nom de saint, quelle est la date de sa fête ? Cette date peut aussi être significative dans l'histoire de votre famille. L'histoire du saint peut également être liée à une situation ou à un événement central de l'histoire familiale.

• Est-ce le prénom d'une personne célèbre ou d'un personnage fictif ? Est-il influencé par l'histoire ? La fréquence du prénom Philippe a par exemple doublé en 1941 par rapport à 1939, en lien avec la popularité du Maréchal Philippe Pétain à l'époque.

• A-t-il déjà été donné auparavant dans votre famille ? À qui ? Enquêtez sur la vie de cet ancêtre pour comprendre le retour de son prénom dans l'arbre généalogique.

• Inclut-il ou fait-il référence à d'autres prénoms déjà présents dans votre famille ? Par exemple, Eric et Frédéric, Ada et Adam. Certains prénoms peuvent contenir une combinaison d’autres prénoms, comme par exemple Albert, qui rassemble Alain et Robert. Des syllabes identiques et des sonorités proches sont également à prendre en compte telles que Christine et Adeline .

D'autres aspects à considérer concernant les prénoms :

Nos deuxièmes prénoms sont également importants, même s'ils ne sont pas souvent utilisés, car ils transmettent les désirs conscients et inconscients de la personne qui les a choisis.

Un prénom androgyne comme Claude, Dominique ou Michel/Michelle peut être déroutant. Il pourrait indiquer que nos parents voulaient un enfant du sexe opposé, car un prénom unisexe crée l'illusion que nous pourrions appartenir au sexe désiré.

Les surnoms sont également significatifs et peuvent parfois être péjoratifs. Il est intéressant de noter qui vous donne quel type de surnom.

Si notre prénom est le même que celui d'une figure clé dans la vie de nos parents (par exemple, un ami, un amant, un parrain ou une marraine, quelqu'un qui a réussi ou est vu comme un modèle), nous devons essayer d'en savoir plus sur cette personne et le rôle qu'elle a joué dans la vie de nos parents.

Par exemple, le prénom de Hillary Clinton vient de l'admiration de ses parents pour l'alpiniste néo-zélandais Sir Edmund Hillary, et on peut dire qu'elle a atteint des sommets, dépassant peut-être même les espoirs que ses parents avaient placés en elle.

Que se passe-t-il lorsqu'un enfant reçoit le nom d'un ancien amant de l'un de ses parents ?

Dans la plupart des cas, personne d'autre que le parent ne le sait, et ce secret pèsera lourdement sur la vie amoureuse de l'enfant à l'âge adulte. Par exemple, une mère peut donner à son fils le nom d'un ancien amant qu'elle regrette alors que le père de son fils est son nouveau partenaire. Il en résulte une confusion entre l'amant et le fils. Lorsqu'elle prononce ce nom, qui appelle-t-elle, son fils ou son amant ? Puisqu'ils portent le même nom, il sera difficile de les distinguer. Comment ce fils devenu adulte pourrait-il mener une vie amoureuse épanouie alors qu'il a été désigné dès le début comme l'amant idéalisé de sa mère ?

Les prénoms peuvent également influencer le choix d'un partenaire. Par exemple, un homme peut choisir une femme dont le prénom est proche de celui de sa mère, de sa grand-mère ou de sa sœur.

Pour résumer, il est essentiel de découvrir la signification de notre prénom, pourquoi il a été choisi et par qui. Nous devons également savoir s'il existe déjà dans notre arbre généalogique. Si c’est le cas, il nous faut prêter attention au destin de ceux qui l’ont déjà porté, car il résonne avec le nôtre et correspond à la vie dont nos parents ont rêvée pour nous.

3. Le noms de famille : identité sociale et lien avec l'histoire familiale

Les noms de famille nous relient à notre lignée familiale. Ils portent le poids de l'histoire familiale, de ses périodes fastes comme de ses tragédies. Il est important d’en connaître l’origine et la signification.

Au gré de l’histoire, les usages ont varié concernant la nomination. Après une période ou seul le prénom existait, les homonymes devenant trop fréquent avec l’augmentation de la population, un surnom est venu compléter le prénom vers le Xème siècle. A partir du XIIème siècle, ces surnoms se sont figés et sont devenus héréditaires, même si leur signification ne correspondaient plus à son porteur. Ainsi, un Jean Legrand portera le surnom de son père même s’il est petit.

Mais comme ils sont essentiels à notre identité, diverses stratégies peuvent être adoptées au fil des générations pour conserver un nom de famille et le transmettre ou pour le faire disparaître.

Le nom de famille reflétant le succès ou l'échec d'une famille, le porter peut être vu comme un honneur ou une disgrâce. Par conséquent, lorsque les femmes adoptent un nouveau nom par le mariage, cela peut permettre de remplacer un nom dévalorisant par un autre plus positif.

Ainsi, certains noms perdurent dans le temps, tandis que d'autres disparaissent de l'arbre généalogique. Par exemple, certains descendants d’Hitler ont fait un pacte pour mettre fin à leur lignée et ne se sont jamais mariés ou n'ont jamais eu d'enfant.

Au contraire, l'attachement au nom peut devenir prédominant lorsque la famille n'a rien transmis d'autre sur quoi s'appuyer. Sans l'héritage de l'amour, de la confiance, de l'argent et d'une base intellectuelle, le nom de famille peut devenir la seule chose qui compte.

Dans quelle mesure la signification de notre nom de famille nous influence-t-elle ?

Dans son livre «Mon corps généalogique», Elisabeth Horowitz cite une recherche de l'hôpital universitaire de Dublin pour mesurer l’influence de la signification du nom de famille sur la santé. Pour cela, des médecins ont observé si les personnes portant le nom de famille Brady souffraient davantage d'un trouble cardiaque, la bradycardie, caractérisé par un rythme cardiaque légèrement trop bas. Le résultat de leurs observations a montré un chiffre deux fois plus élevé que dans la population générale, avec 1,38 % des personnes nommées Brady ayant subi une chirurgie cardiaque, alors que cela n'affectait que 0,61 % des personnes portant un nom différent. (lien EH)

Influence du noms de Famille sur le choix du partenaire :

Notre nom de famille influence les choix amoureux lorsque nous choisissons un conjoint dont le nom de famille ressemble au nôtre ou à celui de nos ancêtres. Cela concerne souvent la syllabe initiale. C’est le cas de George Sand : née Aurore Dupin elle a épousé le baron Dudevant. Parfois c’est la syllabe finale qui est identique, par exemple M. Bachelard qui épouse Mlle Picard. Ce type de mariage est basé sur une ressemblance, qui peut aussi être une limitation.

En examinant votre arbre généalogique, vous pourrez remarquer des cas où des couples se sont formés inconsciemment en raison de la similitude de leurs noms. Les initiales sont également significatives. Dans certains cas, les conjoints peuvent partager les mêmes initiales.

Le nom de famille du conjoint peut également être lié par sa signification à un événement clé de leur vie, car des mots similaires et/ou phonétiquement similaires sont équivalents pour l'inconscient.

Dans le cas le plus extrême, un homme et une femme portant le même nom de famille se marient. C’est ce qui s’est passé pour le président des États-Unis, Franklin Delano Roosevelt (1882-1945, président de 1933 à 1945). Il a en effet épousé sa cousine au cinquième degré et nièce du président Theodore Roosevelt (1858-1919, président de 1901 à 1909), Eleanor Roosevelt. Comme le père d'Eleanor était décédé, Theodore, président à l'époque du mariage, le 17 mars 1905, a conduit la mariée à l'autel. Lorsqu'on lui a demandé ce qu'il pensait de l'union Roosevelt-Roosevelt, le président Theodore Roosevelt a dit : « C'est une bonne chose de garder le nom dans la famille ». Cependant, ce n'est pas la meilleure recette pour un mariage heureux. Si Eleanore Roosevelt a joué un rôle important en tant que 1ère dame, notamment pour la défense des droits civiques, lorsqu’elle apprit l’infidélité de son mari elle voulut divorcer, puis accepta de rester dans une union de façade pour ne pas nuire à la carrière de son mari, chacun ayant sa propre vie privée. Avant cette séparation officieuse, ils avaient eu six enfants, dont un mort en bas âge.

Limiter le choix des partenaires à un cercle restreint réduit les possibilités de la vie tout en donnant l'illusion de préserver les biens et les privilèges familiaux. La consanguinité peut être une conséquence désastreuse de ces restrictions, mettant fin à la lignée familiale.

D’une manière générale, l'accumulation d'éléments identiques est néfaste à la vie car elle n'apporte rien de nouveau, mais reproduit simplement une situation antérieure. En d'autres termes, la capacité de la vie à croître et à se diversifier est réduite par un excès d'ingrédients identiques, entraînant des répétitions stériles. Plus les similitudes sont nombreuses, plus le risque est grand.

4. Un nom unique pour chaque individu

Alors que notre nom de famille nous relie à notre groupe familial, notre prénom devrait souligner notre singularité. La combinaison de ces deux éléments devrait créer un nouveau nom affirmant notre unicité.

Dans les générations passées, il était courant de transmettre son nom complet à ses enfants, qui étaient censés perpétuer les traditions familiales. Ce n'est plus le cas. Aujourd'hui, la société valorise et encourage l'individualisation, et il semble même n'y avoir aucune limite à l'innovation concernant les prénoms. Par exemple, Elon Musk a nommé deux de ses enfants X Æ A-Xii et Exa Dark Sideræl. Au moins, ils peuvent être assez sûrs de ne jamais rencontrer d'homonyme ! À moins, bien sûr, que ce ne soit le début d'une nouvelle mode.

Votre nom est-il unique ?

Imaginez que votre nom complet existe déjà dans votre famille. Dans ce cas, nous semblons programmés pour nous identifier à un ancêtre, que ce soit pour répliquer son succès, lui offrir une nouvelle chance après une mort prématurée, réparer une injustice qu'il a subie ou renforcer un lien familial.

Nous sommes alors chargés d'une mission par l'inconscient familial pour prolonger leur vie, avec le risque de voir notre nom écrit sur une tombe alors que nous sommes encore en vie, ce qui peut induire un choc psychologiques, ainsi qu’une peur de mourir au même âge ou de la même cause que l'ancêtre dont nous portons le nom.

C'est également le cas lorsqu'un enfant reçoit le nom d'un frère ou d'une sœur décédé avant sa naissance (enfant de remplacement). Vincent Van Gogh et Salvador Dali en sont l’illustration.

Le peintre post-impressionniste néerlandais Vincent Van Gogh naquit le 30 mars 1853, exactement un an après la mort de son frère aîné, mort-né, qui s'appelait également Vincent. Son frère mort-né fut enterré dans le cimetière à côté de l'église de son village, et le jeune Vincent voyait la tombe portant son nom chaque dimanche lorsque sa famille allait à l'église. Il passait également tous ses anniversaires dans le cimetière, accompagné de sa mère. Toute sa vie, il rendit périodiquement visite à la tombe.

Vincent Van Gogh, sixième Vincent de sa lignée familiale, a souffert d'être un enfant de remplacement et a fait tout ce qu'il pouvait pour affirmer son individualité et être reconnu pour lui-même. Néanmoins, il est mort tragiquement à 37 ans, laissant derrière lui ses peintures, exutoires et témoignage de sa souffrance, mais aussi de sa capacité à la transformer par la créativité.

L'artiste surréaliste espagnol Salvador Dali, né le 11 mai 1904, était également un enfant de remplacement, puisque son frère aîné, également nommé Salvador, mourut neuf mois avant sa naissance.

Dali fut hanté par son frère décédé tout au long de sa vie, le mythifiant dans ses écrits et son art. Dali a dit de lui : « [nous] nous ressemblions comme deux gouttes d'eau, mais nous avions des reflets différents. » Il « était probablement la première version de moi-même mais conçu trop dans l'absolu ». Des images de son frère apparaissaient dans ses œuvres, y compris Portrait de mon frère mort (1963).

Il existe différentes manières de répéter un nom :

• Le nom peut être légèrement modifié. Par exemple, Jean peut devenir Jeannot, Jeanne ou Jeannette ; Sandra peut se transformer en Sandrine, etc.

•  La répétition d'un nom peut également être cachée dans des anagrammes (lettres réarrangées) comme Alex et Axel, par exemple, ou des noms avec des syllabes communes tels Annabelle et Isabelle.

• Un nom peut contenir plusieurs noms. Par exemple : Marianne = Marie et Anne.

•  Les noms peuvent également être choisis inconsciemment pour rapprocher les frères et sœurs. Par exemple, Erik peut être le demi-frère de Frederik. Comme leurs noms de famille ne les relient pas, leurs prénoms les rapprochent.

Lorsque les noms se répètent, il est crucial de comprendre pourquoi et d'en apprendre le plus possible sur l'ancêtre dont vous portez le nom afin d’éviter de revivre sa vie.

Si un nom a été donné à plusieurs reprises dans notre arbre généalogique, il nous faut examiner de près la première personne portant ce nom. C’était peut-être une personnalité importantes et couronnées de succès, ouvrant une ère de mobilité ascendante pour la famille. Dans ce cas, la répétition du nom vise à perpétuer la bonne fortune de la famille. Mais cela peut empêcher les nouvelles générations de tracer leur propre chemin, les forçant à répéter ce qui a déjà été fait.

Voici les principales raisons de la répétition des noms :

• Un statut plus élevé que les descendants espèrent maintenir par la répétition du nom.

• Une mort prématurée.

•  Un secret détenu par l'ancêtre.

Il est essentiel de se renseigner sur la vie de ces ancêtres pour ne pas rester sous leur influence. Nous devons en apprendre le plus possible sur la personne avec qui nous partageons un nom, car cela implique un lien très fort. Connaître son histoire est la clé pour sortir d'un processus d'identification inconscient qui pourrait entraver notre développement personnel.

Chacun de nous est unique. Aucune personne sur Terre ne partage les mêmes empreintes digitales ou ADN. Cependant, nos antécédents généalogiques interfèrent parfois avec cette unicité, entraînant des difficultés. L'objectif de la psychogénéalogie est de débusquer et de résoudre ces problèmes.

Pour finir voici quelques conseils pratiques :

•  Faites une liste des prénoms dans votre famille, en notant ceux qui sont répétés et ceux qui incluent ou font référence à d'autres noms dans votre généalogie. Recherchez leur étymologie et leur signification.

• Faites une liste de tous les noms de famille dans votre famille. Notez leurs similitudes ou comment ils se complètent à travers le mariage. Cherchez leur signification et leur étymologie.

• Observez comment les membres de la famille se relient les uns aux autres par la répétition des noms, et essayez de comprendre la signification de ces répétitions en vous renseignant sur leur vie.

•  Si vous n'aimez pas votre nom, changez-le ou utilisez un pseudonyme. Changer de nom est légalement possible avec une bonne raison. Si ce n'est pas réalisable ou si vous ne souhaitez pas aller jusque-là mais que vous ne vous sentez pas bien avec votre nom, essayez d'utiliser un pseudonyme. Cela peut être un moyen de vous distancer d'un nom généalogiquement chargé qui ne correspond pas à ce que vous souhaitez accomplir.

Votre nom contient la clé qui peut vous permettre d’accéder à une meilleure compréhension de votre histoire, à condition de décoder les messages qu’il renferme. Lancez-vous dans cette exploration passionnante pour débloquer vos freins généalogiques inconscients et exploiter pleinement votre potentiel.